Oldelaf
Bonjour
Je m’appelle Oldelaf.
Vous pensez me connaître mais non, je n’ai pas joué dans la Reine des Neiges.
Je suis chanteur.
J’ai toujours beaucoup aimé le sport également. Mais j’ai toujours été nul.
Alors je suis chanteur.
Et là, c’est plutôt chouette car depuis plus de 20 ans, de plus en plus de gens viennent voir mes spectacles, achètent mes disques et parlent de moi.
Ca me rend fier.
Beaucoup me collent une étiquette d’humoriste car j’aime bien faire rire.
C’est vrai.
Mais je crois que je préfère faire des chansons.
Parfois drôles.
Parfois pas.
Et depuis 2010, avec mes musiciens, on mélange tout ça et on se régale. Et je suis heureux car apparemment, les gens aussi.
Mais comme le dernier album date de 2014, que j’ai fait plein de choses depuis : le spectacle la folle Histoire de Michel Montana avec Alain Berthier, des chronique sur France 3, RTL, le comédien dans des séries comme Herocorp, le cheval à bascule dans le Soldat Rose 2, la musique m’a manqué.
Alors j’ai eu besoin d’écrire des chansons.
Et entre temps, j’ai pris 40 ans.
Ça ne m’embête pas mais ça me fait me poser des questions sur moi, sur mon parcours dont je suis si fier, sur le monde qui m’entoure, j’ai fait des chansons qui parlaient de tout ça.
Alors j’ai remobilisé les troupes, Victor Paillet à la guitare, Alexandre Zapata à la basse, Fabrice Lemoine à la batterie, mon clan, trouvé un nouveau manager, un réalisateur de choix, réservé un studio de rêve Ferber à Paris, et me suis construit un corps irréprochable. Enfin… disons que pour le dernier point, c’est en projet.
Mais surtout, j’ai écrit de nouvelles chansons importantes. Des chansons simples, fortes, où l’humour est parfois là quand c’est nécessaire, quand ça permet de dire des choses dures plus légèrement.
Loic Desplanques
Auteur-compositeur-interprète et guitariste, vaguement décalé, un peu détaché, tout en nuances mais très attachant, Loïc Desplanques manie les mots avec humour et poésie, les lettres avec fantaisie, rappelant dans le désordre et pour ne pas les nommer Serge Perec, Boris Gainsbourg ou Georges Vian.
Artiste singulier, il s’est forgé un personnage d’anti-héros dandy, sympathique et poète. Nonchalamment mais sûrement, il installe de chanson en chanson, son univers empreint d’une certaine légèreté, mêlant jeux de mots, de sonorités et de langage à des paroles toujours ludiques. Une légèreté qui peut paraître futile mais qui pourtant s’avère lourde de sens. Car finalement, si la vie est vaine, mieux vaut qu’elle soit douce (autant que faire se peut).