— Comme le souligne le saxophoniste, leader et fondateur du groupe, Stefano Giust, « La musique est un langage primitif, bien plus ancien et instinctif que la parole ». C’est à partir de ce constat, mué en credo, que le Stefano Giust Ensemble s’est formé. Une rencontre musicale, où les parcours des membres du groupe interfèrent et se mêlent jusqu’à créer une vibration groovy, entre jazz dépoussiéré et funk inspirée, sur fond de rythmes afro et latino. C’est aussi une rencontre humaine, où les affinités entre individus résonnent au travers des instruments, imprimant à chaque thème un petit supplément d’âme.

Stefano Giust est un musicien et compositeur d’origine italienne. Dès l’age de 9 ans il se passionne pour le saxophone et «fait ses gammes». Pourtant épris de liberté c’est essentiellement en autodidacte qu’il parvient à maîtriser son art. Le Jazz et la musique latine le touche particulièrement.
Il approfondit cette attirance par des voyages en Amérique Centrale et du Sud (Cuba-Brazil) à la recherche d’une nouvelle sonorité, d’une nouvelle perception de son art.
Il collabore avec plusieurs artistes et formations et enregistre 6 disques: Marco Castelli (Italie 2004-2010), Bira Reis (Salvador de Bahia 2006), la Bandorkestra 55 et la Banda Berimbau (batucada brésilienne) et participe à des nombreux festivals en Italie, Pologne, Autriche, Slovénie, Croatie, France, Brésil et Dubaï.
En 2009 il s’installe à Paris et crée le Stefano Giust Ensemble un an plus tard.

Francis Benoit Jazz Ensemble

— Jazz Latin Samba et Bossa Nova

En 2016 Francis BENOIT trompettiste rencontre Stefano GIUST saxophoniste et Eduardo SAINZ guitariste. Trois musiciens aux expériences multiples (musique classique, variétés, musique sud-américaine, jazz), autant d'influences acquises au cours de leurs pérégrinations musicales. Ils ont uni leurs différentes sensibilités pour créer le groupe Francis BENOIT Jazz Ensemble : latin jazz (samba, bossa nova) et ballades.
Un Trio qui peut évoluer en Quintet avec l'association de 2 percussionnistes africains : dounoumba et djembé. Ces deux instruments remplacent la batterie et les congas, ce qui permet de donner une couleur africaine sur le plan orchestral : inédit et inouï dans la musique latin jazz.