Bar à cocktails et mini-club addictif du 11ème arrondissement de Paris, son âme arty, brute et accueillante n’a jamais changée.
L’établissement est à la fois devenu le rendez-vous privilégié des noctambules, le quartier général des copains, un lieu de passage, et souvent un véritable traquenard. Sans âge, sans fin (sauf celle de devoir rentrer...), 200 événements par an y sont ainsi pilotés par l’équipe Bonjour/Bonsoir (Badaboum, 824 heures, Disco Disco...) et le collectif Dure Vie, véritables fils rouges d’une vie nocturne parisienne fourmillante et décomplexée.
Imprégnés d’œuvres de street-art éphémères, les murs du Panic Room ont abrité au fil des années
de nombreux collectifs, labels et artistes français. Du mercredi au samedi, le mini club en sous-sol s’affranchit de l’atmosphère conventionnelle d’un bar et devient un lieu de villégiature pour toutes les âmes en manque de réjouissance.
Ils ont déjà joué au Panic Room : D’Julz, Molly, Point G, DJ Steaw, Janeret, D.KO Records, La Mamie’s, Ark, Masomenos, Phil Weeks, Délicieuse Musique, Linkwood...
Bar à cocktails et mini club arty
À l’étage, on s’accoude au bar en zinc pour se délecter de bières fraîches et cocktails création réalisés
dans le plus grand savoir-faire des barmans, ou pour déguster les planches généreuses de de fromages et de charcuterie. Seul ou en équipe, à la recherche de valeurs sûres ou à la conquête de découvertes gustatives, la carte propose une large sélection de créations aux noms déconcertants - puis stupéfiants.
C’est par un escalier inattendu que l’on atterrit sur le dancefloor du mini-club. En bas des marches,
la Lightroom, ciel étoilé fait sur-mesure en LED, trône au-dessus de la piste et illumine cette cave voûtée typiquement parisienne sous laquelle dansent frénétiquement les visiteurs.